Spider-man 125

Joyeux anniversaire, joyeux anniversaireeeeeeeeeeeee Spideyyyyyyyyy, joyeux anniversaire.
Comme tout le monde l'aura compris ce Spider-man 125 est l'occasion de fêter le 600iéme épisode US. Mais avant de souffler les bougies du gâteau, on débute avec un petit annual en entrée.

ASM annual 36.
Comme tout bon mariage à l'américaine, la coutume veut que la famille proche se réunisse pour faire un diner de fiançailles quelques jours avant de se passer la corde au coup. Non, je raconte pas ma vie mais bien le point de départ de l'intrigue. Comme vous le savez tous, si vous lisez mes critiques mensuelles, et vous avez interêt de le faire May et JJSr vont se dire oui, mais comme ont ne fait pas les choses a moitié dans la famille Jameson, Sr, organise le repas à Boston, histoire de faire commence avec la famille Reilly, qui en est originaire. Évidemment tout se passe pas comme prévu et en éternel poissard, Peter tombe sur le le seul super bad guy du coin, qui va faire remonter à la surface un nom qu'on avait pas entendu depuis au moins 10 ans.
Comme dit en introduction cette annual est un amuse gueule en attendant le numéro anniversaire, pour autant si la situation qui ramène le nom du personnage disparu laisse une marge de manœuvre intéressante pour une bonne intrigue, je ne sais pas si ce retour est une bonne idée. Mine de rien j'ai toujours le sentiment que sa mort était la meilleure chose qui pouvait lui arriver et qu'elle avait clôt, une période extrêmement médiocre.

ASM 600
Le mariage est tout proche, doc oc, qui n'a rien de mieux a faire ce jour là décide de prendre le contrôle de tout se qui fonctionne à électricité dans New York, histoire d'améliorer la vie de la populace. Évidemment tout se passe pas comme prévu et sa belle idée tourne court. Je feras pas durer le suspense bien longtemps en disant que, oui tout s'arrange et oui May et JJSr se marient. La dernière page ramène sur le devant de la scène une rousse qu'on a pas vu depuis quelque temps, je ne dirai pas qui, mais en tout cas se n'est pas Jean Grey.
Comme souvent les numéros anniversaire n'apporte rien et celui-ci ne fait pas vraiment exception a la règle. Pour autant celui-ci, à l'inverse de l'exemple récent de Cap, reste agréable a lire, doté d'un certain humour et au demeurant remplit parfaitement le cahier des charges, d'un numéro de Spidey.
Ajouté à sa 60pages de bon JRJr.