DC Universe 57

La dernière fois Panini nous avait fait un beau cadeau en stoppant le médiocre, et encore je reste poli, relaunch des Titans. Enfin débarrassé de ce poids mort, DC Universe pouvait, en toute logique, reprendre un rythme de croisière beaucoup plus en adéquation avec sa réputation de meilleur mag français.

Green Lantern 39-40
Double dose cette fois-ci de la meilleure série mainstream, avec le début du nouvel arc, prologue au prologue de Blackest Night. Après les jaunes, les bleus, les rouges, les roses, voilà donc le tour des oranges de pointer le bout de leur nez en prévision de la guerre de la lumière.
Deux épisodes a l'image de la série depuis le début, mélange d'actions et de révélations toutes dirigées vers le grand crossover de l'année.
J'avais déjà beaucoup aimé les Red Lanterns et je craignais que les Oranges fasse un peut doublon.
D'un certain point de vue c'est le cas, car les membres des deux corps ne semblent pas avoir de volonté propre, indépendantes de leurs leaders respectifs, mais la façon dont sont recrutés les Oranges est particulièrement savoureuse, au point de faire un peu oublier une certaine facilité de la part de Johns.

JLA 33
La nouvelle JLA, celle des seconds couteaux, par la poursuite du Docteur Light, à part ça, pas grand chose. J'avoue que je ne me souvenais pas vraiment de ce que j'ai lu il y a deux mois, ça a donc été assez dur de reprendre le train en marche. On pourrait résumer ça a une histoire assez générique, sans être désagréable on peut parier qu'elle ne restera pas dans les annales, sans être tout de fois aussi médiocre que la première partie du run de Mc Duffy sur la série.

JSA 24-25
Jamais été grand fan de la série que je suivais essentiellement pour Johns, quand il avait quelque chose à raconter, ce qui ne semble plus être le cas. Je me moque totalement de Cap Marvel et de toute sa famille. Dommage. Peut-être que si le personnage n'avait eut un parcoure moins décousu notamment en France, mon intérêt aurait été plus grand. Mais là on ne dépasse pas le sympathique qui plus est qu'on aura jamais la suite.